Les fabliaux comiques du Moyen Age sont des récits courts et drôles qui ont été très populaires à l’époque. Ces récits sont souvent teintées d’ironie et de sarcasme et servent à critiquer la société. Les fabliaux sont généralement racontés sous forme de fables ou de contes. Ils sont souvent drôles et sont souvent utilisés pour enseigner des leçons morales.
La tête de linotte
La tête de linotte est l’un des plus populaires fabliaux comiques du Moyen Age. Il raconte l’histoire d’un homme stupide qui est berné par sa femme. Dans l’histoire, l’homme est présenté comme un homme très stupide et sa femme est considérée comme très intelligente.
Un jour, la femme lui demande de ramener une tête de linotte à la maison. Bien qu’il ne sache pas ce que c’est, il accepte la demande et commence à chercher une tête de linotte. Il cherche partout dans la ville et finalement, il trouve une tête de linotte. Au lieu de le ramener à la maison, il se met à parler à la tête de linotte.
La femme, qui était très intelligente, comprend très vite ce qui se passe et se met à rire. Elle explique alors à son mari que la tête de linotte était en fait une expression pour dire quelque chose de très stupide. Elle s’est bien amusée avec lui et lui a donné une belle leçon.
L’âne et le bœuf
L’âne et le bœuf est un autre fabliau comique très populaire du Moyen Age. L’histoire se déroule dans une ferme et raconte l’histoire d’un âne et d’un bœuf qui travaillent ensemble. Un jour, alors qu’ils sont en train de travailler, l’âne demande au bœuf pourquoi il y a autant de travail à faire sur la ferme.
Le bœuf répond alors que c’est parce que le maître est très riche et qu’il veut que tout soit fait à la perfection. L’âne réplique alors qu’il n’a pas à s’inquiéter car il est riche et qu’il peut s’acheter ce qu’il veut. Le bœuf rétorque alors que l’âne est stupide et qu’il ne comprend pas comment fonctionne le monde.
Cette histoire a été très populaire à l’époque car elle montrait que même si quelqu’un est riche, il ne doit pas négliger les tâches quotidiennes. Elle montrait également que même si quelqu’un est pauvre, il peut être plus intelligent et plus sage que quelqu’un de riche.